Une délégation éthiopienne de haut niveau, conduite par le président Taye Atske Selassie s’est rendu à Luanda. - ENA Français
Une délégation éthiopienne de haut niveau, conduite par le président Taye Atske Selassie s’est rendu à Luanda.

Addis-Abeba, le 22 juin 2025 (ENA) : - Une délégation éthiopienne de haut niveau, conduite par le président Taye Atske Selassie, est arrivée à Luanda, capitale de l'Angola, pour participer au Sommet des affaires États-Unis-Afrique, prévu du 22 au 25 juin 2025.
À son arrivée à Luanda, le président Taye et sa délégation ont été chaleureusement accueillis par de hauts responsables du gouvernement angolais.
Le sommet États-Unis-Afrique de cette année est unique, d'autant plus qu'il a eu lieu peu après que les États-Unis ont réorienté leur politique à l'égard du continent, axée sur l'investissement et la diplomatie commerciale.
Le changement d'administration de Donald Trump illustre la transition d'un modèle axé sur l'aide au développement vers un modèle axé sur l'investissement, les infrastructures et la conclusion d'accords, dans le cadre d'une politique étrangère axée sur l'Amérique d'abord.
Le sommet très attendu devrait réunir plus de 1 500 délégués, dont des présidents, chefs d'État, ministres et hauts responsables gouvernementaux et chefs d'entreprise américains et africains.
Organisé par le Corporate Council on Africa (CCA) en collaboration avec le gouvernement angolais, le sommet États-Unis-Afrique abordera les opportunités de développement des échanges commerciaux, des investissements et des relations commerciales entre les États-Unis et l'Afrique.
Le président Taye devrait prononcer le discours d'ouverture et tenir des discussions bilatérales en marge du sommet.
L'ENA a appris que d'autres membres de la délégation se réunissent également à Luanda pour participer aux tables rondes et à d'autres sessions importantes.
Des conférences comme le Sommet États-Unis-Afrique pourraient contribuer directement aux résultats remarquables obtenus ces dernières années dans ce secteur.
En outre, ces plateformes devraient permettre à l'Éthiopie d'exploiter son potentiel de diplomatie économique, ce qui accélérera certainement la réforme économique du pays et favorisera son développement économique.